Deriv’s partnership conference for top African achievers was a success

Deriv Global Partnerships team
Management and Africa Global Partnerships team

Deriv international team during gala dinner

KIGALI, Rwanda, Dec. 28, 2022 (GLOBE NEWSWIRE) — From September 30 to October 2, 2022, Deriv hosted their top-performing affiliates in Africa at a conference filled with networking opportunities, knowledge-sharing sessions, and social engagements. Deriv team members came from all over the region to meet with the affiliates from their respective countries.

A total of 100 top affiliates from Nigeria, South Africa, Zambia, Tanzania, Botswana, Malawi, Zimbabwe, Swaziland, Namibia, Kenya, Ghana, Cameroon, and Uganda attended the 2-day conference that took place in Kigali, Rwanda. The affiliates participated in intimate roundtable discussions to exchange ideas and give feedback to improve Deriv’s partnership programmes. There were also learning sessions conducted by the affiliates themselves and the Deriv team.

African affiliates participate in Rwanda conference
African affiliates during learning sessions

Deriv affiliates participate in roundtable discussions exchanging ideas and giving feedback to Deriv’s team.

Godfrey Zvenyika, Head of the Deriv Rwanda office, said, “The management and Africa Global Partnerships team planned and executed this event to absolute perfection. This conference gave us insight into how our partners can network and feed off each other, resulting in them performing even better. It was a total pleasure watching the interactions and networking during this conference.”

The success of this inaugural conference has inspired plans for future events. Godfrey continued, “This is the first of many to come, and I believe the conferences can only get better. We are already looking forward to the next conference in February 2023 for the Francophone countries.”

Isabel Gambura, Country Manager, further added, “The conference gave us an amazing opportunity to connect face-to-face and share experiences with our affiliates, people we have been partnering with for years. In fact, one of our top partners shared a very touching story about how our partnership had allowed her to lead an independent life. It was truly great to see how our programmes impact our partners’ lives.”

The event ended with a gala dinner to celebrate the achievements of all the conference attendees throughout their Deriv partnership. Check out the highlights of the conference here.

About Deriv

For the last 22 years, Deriv has built an extensive global affiliate network through some of the most attractive partnership programmes in the industry. With a mission to make online trading accessible to anyone, anywhere, it offers various opportunities to earn commission via a diverse suite of trading apps for desktop and mobile. Its affiliates all around the world enjoy 24/7 support and exclusive resources. Deriv’s product offering includes seven intuitive trading platforms, over 200 tradable assets in markets such as forex, stocks, and cryptocurrencies, unique trade types, and more. Some trading conditions, assets, and platforms are unavailable to clients residing in the European Union.

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Aleksandra Zuzic
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Huawei dévoile les 10 grandes tendances des solutions Smart PV pour un avenir plus vert

SHENZHEN, Chine, 28 décembre 2022 /PRNewswire/ — Huawei a tenu la conférence sur les 10 grandes tendances en matière de solutions photovoltaïques Smart PV, axant le débat sur le thème de l’accélération du développement de l’énergie solaire en tant que source d’énergie majeure. Lors de la conférence, Chen Guoguang, président de Huawei Smart PV+ESS Business, a partagé les réflexions de Huawei sur les 10 tendances des solutions Smart PV du point de vue de la collaboration multi-réseaux, de la transformation numérique et de l’amélioration de la sécurité.

Alors que la proportion des énergies renouvelables ne cesse d’augmenter, l’industrie de l’énergie solaire photovoltaïque a connu une croissance fulgurante. Elle doit toutefois encore relever de nombreux défis, notamment : comment continuer à réduire le coût actualisé de l’énergie (LCOE), comment améliorer l’efficacité de l’exploitation et de la maintenance, comment maintenir la stabilité du réseau électrique au fur et à mesure que la part des énergies renouvelables augmente, et comment assurer la sécurité du système de bout en bout.

« En cette période de croissance rapide de l’industrie de l’énergie solaire photovoltaïque, ces défis offrent également des possibilités », a déclaré Chen Guoguang. Entreprise tournée vers l’avenir, Huawei tient à partager ses idées et ses réflexions avec ses partenaires, ainsi qu’avec les organisations et les personnes qui s’intéressent au développement écologique et durable.

Tendance no 1 : Générateur PV+ESS

Au fur et à mesure que les énergies renouvelables alimentent les réseaux électriques, divers problèmes techniques complexes surviennent en termes de stabilité du système, d’équilibre de puissance et de qualité de l’énergie.

Par conséquent, un nouveau mode de contrôle est nécessaire pour accroître la capacité de contrôle de la puissance active/réactive et la capacité de réponse, et pour atténuer activement les fluctuations de fréquence et de tension. Grâce à l’intégration des technologies PV et ESS, ainsi qu’à la technologie de formation de réseau, nous pouvons construire des « générateurs Smart PV+ESS », qui utilisent le contrôle de la source de tension au lieu du contrôle de la source de courant, offrent un fort soutien par inertie, une stabilisation de la tension transitoire et des capacités de transmission par défaut. Les solutions PV passeront ainsi de la stratégie « grid-following » à la stratégie « grid-forming », ce qui contribuera à accroître l’alimentation en énergie solaire photovoltaïque.

Le projet de la mer Rouge en Arabie saoudite a été un jalon dans la pratique de ces technologies. Huawei, l’un des principaux partenaires, a fourni un ensemble complet de solutions, dont un contrôleur Smart PV et un système de stockage d’énergie sur batteries au lithium (BESS). Ce projet utilise 400 MW (PV) et 1,3 GWh (ESS) pour soutenir le réseau électrique, qui remplace les génératrices traditionnelles au diesel et fournit une énergie propre et stable à un million de personnes, construisant la première ville au monde alimentée à 100 % en énergies renouvelables.

Tendance no 2 : Haute densité et fiabilité

La fiabilité et la puissance élevée de l’équipement dans les centrales photovoltaïques joueront un rôle essentiel. Prenons l’exemple des onduleurs PV : de nos jours, la tension CC des onduleurs passe de 1 100 V à 1 500 V. Avec l’application de nouveaux matériaux tels que le carbure de silicium (SiC) et le nitrure de gallium (GaN), ainsi que l’intégration complète du numérique, l’électronique de puissance et les technologies de gestion thermique, on estime que la densité de puissance des onduleurs augmentera d’environ 50 % au cours des cinq prochaines années, et que la fiabilité élevée pourra être maintenue.

La centrale photovoltaïque de 2,2 GW de Qinghai, en Chine, se trouve à 3 100 m au-dessus du niveau de la mer et dispose de 9 216 régulateurs Smart PV Huawei (onduleurs) fonctionnant de façon stable dans cet environnement hostile. Le nombre total d’heures de disponibilité des onduleurs Huawei dépasse les 20 millions d’heures et la disponibilité atteint 99,999 %.

Tendance no 3 : Solution MLPE (électronique de puissance au niveau du module)

Stimulée par les politiques de l’industrie et les progrès technologiques, la solution PV distribuée a connu un développement vigoureux au cours des dernières années. Nous sommes confrontés à différents défis, tels que la façon d’améliorer l’utilisation des ressources en toiture, d’assurer un rendement énergétique élevé et d’assurer la sécurité du système PV+ESS. Par conséquent, une gestion améliorée est essentielle.

Dans un système PV, l’électronique de puissance au niveau du module (MLPE) fait référence à l’équipement électronique de puissance qui peut effectuer une commande améliorée sur un ou plusieurs modules PV, notamment les micro-onduleurs, les optimisateurs de puissance et les sectionneurs. Le MLPE apporte des valeurs uniques telles que la production d’électricité au niveau du module, la surveillance et l’arrêt sûr. Les systèmes photovoltaïques étant de plus en plus sûrs et intelligents, le taux de pénétration de l’énergie photovoltaïque dans le marché de l’énergie photovoltaïque distribuée devrait atteindre 20 à 30 % d’ici 2027.

Tendance no 4 : Stockage d’énergie Smart String

Comparée aux solutions ESS centralisées traditionnelles, la solution Smart String ESS adopte une architecture distribuée et une conception modulaire. Elle utilise des technologies innovantes et une gestion intelligente numérique pour optimiser l’énergie au niveau du bloc batterie et contrôler l’énergie au niveau du rack. Il en résulte plus d’énergie de décharge, un investissement optimal, une facilité d’exploitation et de maintenance, ainsi que la sécurité et la fiabilité tout au long du cycle de vie de l’ESS.

En 2022, dans le cadre du projet ESS de 200 MW/200 MWh à Singapour mené à des fins de régulation de fréquence et de réserve tournante, le plus grand projet BESS en Asie du Sud-Est, le système Smart String ESS, met en œuvre une gestion améliorée de la charge et de la décharge afin d’obtenir sur une période plus longue une puissance de sortie constante et d’assurer les avantages de la régulation de fréquence. En outre, la fonction d’étalonnage automatique de l’état de charge (SOC) au niveau du bloc-batterie réduit les coûts de main-d’œuvre et améliore considérablement l’efficacité de l’exploitation et de la maintenance.

Tendance no 5 : Gestion améliorée au niveau des cellules

À l’instar des systèmes PV qui s’orientent vers le MLPE, les BESS au lithium devraient se développer vers un niveau de gestion inférieur. Seule une gestion améliorée au niveau des piles peut permettre de faire face plus efficacement aux problèmes d’efficacité et de sécurité. À l’heure actuelle, le système traditionnel de gestion de batterie (BMS) ne peut que résumer et analyser des données limitées, et il est presque impossible de détecter les défauts et de générer des avertissements dans les premiers stades. Par conséquent, le BMS doit être plus sensible, intelligent et même prédictif. Cela dépend de la collecte, du calcul et du traitement de gros volumes de données, ainsi que des technologies d’IA pour trouver le mode de fonctionnement optimal et faire des prévisions.

Tendance no 6 : Intégration PV+ESS+réseau

Du côté de la production d’électricité, nous voyons de plus en plus de pratiques de construction de bases d’énergie propre PV+ESS, qui fournissent de l’électricité aux centres de charge par des lignes de transmission d’électricité à ultra-haute tension. Du côté de la consommation d’énergie, les centrales électriques virtuelles sont de plus en plus populaires dans de nombreux pays. Ces centrales combinent des systèmes PV distribués massifs, des ESS et des charges contrôlables, et mettent en œuvre une programmation flexible pour les unités de production d’énergie et les unités de stockage afin d’obtenir un écrêtement des pointes, etc.

Par conséquent, la construction d’un système d’énergie stable qui intègre le PV+ESS+réseau pour soutenir l’alimentation en énergie photovoltaïque et le raccordement au réseau deviendra une mesure clé pour assurer la sécurité énergétique. Nous pouvons intégrer le numérique, l’électronique de puissance et les technologies de stockage de l’énergie pour atteindre une complémentation multi-énergie. Les centrales électriques virtuelles peuvent gérer, exploiter et échanger intelligemment la puissance des systèmes PV+ESS distribués grâce à de multiples technologies, dont la 5G, l’IA et les technologies du cloud, qui seront mises en pratique dans un plus grand nombre de pays.

Tendance no 7 : Sécurité améliorée

La sécurité est la pierre angulaire du développement de l’industrie PV et ESS. Pour ce faire, nous devons envisager systématiquement tous les scénarios et tous les liens, et intégrer pleinement l’électronique de puissance, l’électrochimie, la gestion thermique et les technologies numériques afin d’améliorer la sécurité du système. Dans une centrale PV, les défauts causés par le côté CC représentent plus de 70 % de tous les défauts. Par conséquent, l’onduleur doit prendre en charge la déconnexion de la chaîne intelligente et la détection automatique du connecteur. Dans un scénario PV distribué, la fonction AFCI (Arc Fault Circuit Breaker) deviendra une configuration standard, et la fonction d’arrêt rapide au niveau du module assurera la sécurité du personnel d’entretien et des pompiers. Dans le scénario ESS, de multiples technologies, comme l’électronique de puissance, le cloud et l’IA, doivent être utilisées pour mettre en œuvre une gestion améliorée de l’ESS depuis les cellules de batterie jusqu’à l’ensemble du système. Le mode de protection traditionnel basé sur la réponse passive et l’isolement physique est remplacé par la protection automatique active, mettant en œuvre une conception de sécurité multidimensionnelle du matériel au logiciel et de la structure à l’algorithme.

Tendance no 8 : Sécurité et fiabilité

En plus d’apporter des avantages, les systèmes photovoltaïques présentent également divers risques, y compris la sécurité de l’équipement et de l’information. Les risques pour la sécurité de l’équipement sont liés principalement à l’arrêt causé par des défauts. Les risques pour la sécurité de l’information désignent les attaques de réseau externes. Pour faire face à ces défis et à ces menaces, les entreprises et les organisations doivent établir un ensemble complet de mécanismes de gestion de la « sécurité » et de la « fiabilité », incluant la solidité, la disponibilité, la sécurité et la résilience des systèmes et des dispositifs. Nous devons également mettre en œuvre des mesures de protection de la sécurité personnelle et environnementale ainsi que de la confidentialité des données.

Tendance no 9 : Numérisation

Les centrales photovoltaïques classiques disposent d’une grande quantité d’équipement et manquent de moyens de collecte d’information et de production de rapports. La plupart des équipements ne peuvent « communiquer » les uns avec les autres, ce qui rend très difficile la mise en œuvre d’une gestion améliorée.

Avec l’introduction de technologies numériques de pointe comme la 5G, l’Internet des objets (IoT), le cloud computing, les technologies de détection et les mégadonnées, les usines photovoltaïques peuvent envoyer et recevoir de l’information en utilisant des « bits » (flux d’information) pour gérer les « watts » (flux d’énergie). Tout le lien entre la production, la transmission, le stockage, la distribution et la consommation est visible, gérable et contrôlable.

Tendance no 10 : Utilisations de l’IA

Alors que l’industrie de l’énergie se dirige vers une ère de données, l’amélioration des processus de collecte, d’utilisation et d’optimisation de la valeur des données est devenue l’une des principales préoccupations de toute l’industrie.

Les technologies d’IA peuvent être largement appliquées aux domaines des énergies renouvelables et jouer un rôle indispensable dans tout le cycle de vie de PV+ESS, notamment la fabrication, la construction, l’exploitation et la maintenance, l’optimisation et les opérations. La convergence de l’IA et des technologies comme le cloud computing et les mégadonnées s’intensifie, et la chaîne d’outils axée sur le traitement des données, la formation sur les modèles, le déploiement et l’exploitation, ainsi que la surveillance de la sécurité seront enrichies. Dans le domaine des énergies renouvelables, l’IA, comme l’électronique de puissance et les technologies numériques, entraînera une transformation profonde de l’industrie.

Finalement, Chen Guoguang a fait remarquer que les applications convergentes de la 5G, du cloud et de l’IA façonnent un monde où toute chose est sensible, connectée et intelligente. L’évolution est plus rapide qu’anticipé dans un premier temps. Huawei identifie les 10 premières tendances de l’industrie PV et décrit un monde vert et intelligent dans un avenir proche. Nous espérons que des personnes de tous les milieux se joindront à nous pour atteindre les objectifs de neutralité carbone et bâtir un avenir meilleur et plus vert.

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Huawei Datacom désigné leader dans le Magic Quadrant™ de Gartner® 2022 pour les infrastructures LAN filaires et sans fil d’entreprise

SHENZHEN, Chine, 28 décembre 2022 /PRNewswire/ — Huawei a annoncé qu’il a été nommé leader dans le Magic Quadrant™ de Gartner® 2022 pour les infrastructures LAN filaires et sans fil d’entreprise, le seul fournisseur non nord-américain positionné dans le Leaders Quadrant. Il s’agit pour Huawei d’une étape importante et l’entreprise estime que c’est un témoignage supplémentaire de la reconnaissance mondiale de la gamme complète d’offres de réseaux de Huawei. La vaste gamme de solutions de Huawei comprend la solution CloudCampus 3.0, les commutateurs de la série CloudEngine, les points d’accès Wi-Fi (AP) AirEngine et la plateforme de gestion de réseau automatique et intelligente iMaster NCE.

Huawei Datacom named a Leader in the 2022 Gartner® Magic Quadrant™ for Enterprise Wired and Wireless LAN Infrastructure

En tant qu’excellent fournisseur sur le marché mondial des infrastructures de réseau local filaire et sans fil pour les entreprises, Huawei dispose d’une multitude d’atouts, notamment un portefeuille de produits complet, une plateforme de gestion de réseau basée sur l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique (ML), une prise en charge du sans-fil, ainsi qu’une « capacité d’exécution » et une « vision complète » à la pointe du secteur.

Huawei dispose d’un ensemble complet d’offres d’infrastructures LAN filaires et sans fil d’entreprise. Les produits et solutions proposés comprennent la solution de bout en bout CloudCampus pour les LAN, les WLAN, et les WAN, les commutateurs de la série CloudEngine riches en fonctionnalités, les points d’accès Wi-Fi AirEngine primés et la plateforme de gestion de réseau automatique et intelligente iMaster NCE éprouvée sur le terrain. À ce jour, ces produits et solutions ont été utilisés par des millions de clients dans le monde entier, dans tous les secteurs d’activité, ce qui leur a valu de nombreux éloges.

Huawei reste engagée sur le marché mondial des entreprises et innove constamment pour établir la référence en matière de réseaux d’entreprise en termes d’architecture de réseau simplifiée, de conception matérielle de premier ordre, de livraison de logiciels agiles et de modèles commerciaux souples.

Plus précisément, Huawei simplifie l’architecture du réseau de campus en passant de trois à deux couches grâce à sa solution composée d’un commutateur central et d’unités distantes (RU). En ce qui concerne l’innovation matérielle, Huawei a dévoilé des antennes intelligentes Wi-Fi 6 de troisième génération et une gamme de tout nouveaux commutateurs CloudEngine et AP AirEngine. Concernant l’innovation logicielle, Huawei se distingue avec la puissante plateforme de gestion de réseau automatique et intelligente iMaster NCE qui sous-tend le premier réseau de conduite autonome L3 du secteur pour les campus. En ce qui concerne les modèles commerciaux innovants, Huawei se différencie des autres fournisseurs en lançant un modèle de plateforme de gestion du cloud louable et vendable, ainsi que des options de déploiement flexibles, notamment sur site, dans le cloud public de Huawei et dans le cloud appartenant à un Managed Service Provider.

À ce jour, les offres de réseaux de campus de Huawei ont été largement utilisées par des clients dans plus de 170 pays et régions dans des secteurs tels que le service public, l’éducation, la santé, l’industrie manufacturière, la finance et l’énergie, les aidant à construire une base numérique solide pour leur parcours de transformation numérique.

Pour en savoir plus sur la solution CloudCampus de Huawei, veuillez consulter le site : https://e.huawei.com/en/solutions/business-needs/enterprise-network/campus-network

Clause de non-responsabilité de Gartner

Gartner n’approuve aucun fournisseur, produit ou service décrit dans ses publications de recherche et ne conseille pas aux utilisateurs de technologie de sélectionner uniquement les fournisseurs ayant les notes les plus élevées ou une autre désignation. Les publications de recherche de Gartner se composent des opinions de l’organisation de recherche de Gartner et ne doivent pas être interprétées comme des déclarations de fait. Gartner décline toute garantie, expresse ou implicite, concernant cette recherche, y compris toute garantie de qualité marchande ou d’adéquation à un usage particulier. Gartner et Magic Quadrant sont des marques déposées et des marques de service de Gartner, Inc. et/ou de ses sociétés affiliées aux États-Unis et dans le monde entier et sont utilisées ici avec autorisation. Tous droits réservés.

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The limitations of militarised responses to peace in the Great Lakes region

Local Peacebuilding Expert, Landry Ninteretse, argues that sustainable peace in the Great Lakes region can only be achieved with the real and effective involvement of local peacebuilders, who must be supported accordingly.

As soon as new clashes between the Congolese army and M23 fighters broke out in Eastern DRC, the government pointed the finger at Rwanda, accusing the country of supporting the rebels. These accusations have always been denied by Rwanda and have led first Angola and then the East African Community (EAC) to initiate urgent mediation.

Fearing a new escalation of regional violence, the seven member states of the EAC agreed in April to deploy a regional force in Eastern DRC. In mid-August, a first contingent of Burundian soldiers under Congolese command was deployed in South Kivu, followed by another Kenyan contingent of 900 soldiers who arrived in Goma on 13 November.

Eventually, the sub-regional force will bring together between 6,500 and 12,000 soldiers with the aim of ’containing, defeating and eradicating negative forces’ operating in the four provinces of Eastern DRC – namely North Kivu, South Kivu, Ituri and Haut-Uele. It will join the 1,700 Ugandan troops deployed since November 2021 to hunt down the Allied Democratic Forces (ADF), whose results remain mixed one year later.

Ineffective military approaches

While some see this deployment as a glimmer of hope for ending the violence that has long plagued Eastern DRC, many remain sceptical. This is not the first time that foreign forces have intervened on Congolese soil.

All the new troops come in addition to the 14,000-strong UN peacekeeping mission (MONUSCO), which has been present since 2000 but has not yet succeeded in restoring peace.

The failure of the military approach can be explained in part by the fact that such missions do not address the root causes of land, identity and community conflicts. Nor do they sufficiently involve the local population in the push for peace.

As long as local people are not at the centre of peacebuilding processes, the sustainability and above all the ownership of the peace will remain transient.

The centrality of civil society in addressing recurrent conflicts

Indeed, it is the local population, more specifically local peacebuilders, who must be at the heart of any action to restore regional security, peace and social cohesion. Unfortunately, these actors do not have sufficient means and capacities to accomplish this noble task.

Today, investing in such initiatives provides excellent opportunities to work with actors at the heart of the conflict. They understand the conflict’s context and dynamics better than others. And they can provide a rapid and flexible response to resolve conflicts, save lives, and ease tensions until diplomatic efforts and high-level negotiations are completed.

Strengthening local governance and supporting the efforts of local peacebuilding actors in the Great Lakes region, whose strengths are no longer in question, should be the number one priority – not only of the governments concerned, but also of the UN and other international organisations concerned about the recurrent insecurity and instability.

Peace actors at work

Despite the hostile security context and the risks involved, civil society organisations working in the field of peacebuilding are not sitting idly by. For example, the SPR Grands-Lacs (Synergy of Women for Peace and Reconciliation of the Great Lakes of Africa), carries out awareness-raising and capacity-building activities through the Women, Peace and Security programme called “MANU: Mwanamuke Amani na Usalama” in Swahili. It also supports advocacy and lobbying of duty-bearers on peace, the participation of women in conflict resolution and decision-making bodies, and the protection of human rights defenders.

Bénévolat pour l’Enfance and AIDPROFEN, for their part, jointly strengthen the capacities of community governance structures set up in the city of Goma, the territory of Masisi, Nyiragongo and Rutshuru on the so-called “Common Ground” approach. The focus is on collaboration and dialogue as mechanisms for improving relations between communities. This approach teaches governance structures how to: prioritise collaborative and inclusive methods, develop active listening, combat inhibitors of empathy and find common ground in conflict resolution and peaceful cohabitation.

AfriYAN (African Youth and Adolescents Network) sensitises young people in Goma, Nyiragongo and Rutshuru on UN Resolution 2250 on Youth, Peace and Security, calling on young people to avoid violent extremism and to promote peace and mutual tolerance.

The multiplication of foreign military interventions in eastern DRC will not solve the persistent security problem that has lasted for almost three decades. As long as the role of peacebuilders is not recognised and valued, efforts to bring about peace and resolve conflicts are likely to be in vain.

The enormous funds mobilised to deploy military missions should rather be reinvested in strengthening the action of local actors, whose effectiveness and relevance are not in question.

Source: Peace Direct

Jihadi Violence Hits Benin, Shows Spread Across West Africa

It’s been more than a year since jihadis first stormed Igor Kassah’s town in northern Benin, but the priest still lives in fear. His once peaceful life is now marked by threatening phone calls and extremist diatribes tacked on church doors demanding that people leave. He is haunted by the bodies he has seen of those killed in the attacks.

“We no longer have a normal life,” the 41-year-old said through text messages to The Associated Press. “It’s hard to talk and act confidently because you don’t know who’s in front of you anymore.”

Violence by extremists linked to al-Qaida and the Islamic State group has wracked much of West Africa’s inland Sahel region for more than seven years. Now it is spreading into the coastal states with Benin the hardest hit, experts say.

Jihadi attacks in Benin have spiked more than tenfold between July and December compared with the same period last year — from 2 to 25 — according to the Armed Conflict Location & Event Data Project. This is more than any other coastal state in West Africa. If the extremist violence continues to spread it could have far-reaching consequences, say analysts.

“When you talk about the Sahel, geopolitical interests are limited,” said Kars de Bruijne, senior research fellow with Clingendael, a Dutch-based research organization. “But it’s different for coastal states, which are economically much stronger and more important to the African Union and Western countries such as England and the United States.”

These Western powers might see their interests at stake, which is a key reason why they should be really concerned about the spillover of extremist violence into Benin, he said. The more fronts the jihadis open, the more difficult it will be to effectively respond, he said.

Spillover from Burkina Faso

The violence in Benin, a country of 12 million people, is largely a result of what’s happening in neighboring Burkina Faso, where jihadi attacks have killed hundreds and displaced nearly 2 million people. Attacks were initially confined to the border between eastern Burkina Faso and Benin in the W and Pendjari National Parks in the Alibori and Atacora regions but are now expanding. Incidents have increased since June in populated areas around the parks with jihadis connected to the al-Qaida-linked group known as JNIM pushing Benin’s military from the border, creating a security vacuum and taking control of part of the country, according to a recent report by Clingendael.

The jihadi rebels appear to be creating a large area of influence from Niger to Togo in order to keep supply lines open, recruit people and procure material, say analysts. Another aim could be to withstand pressure from the Accra Initiative, a military platform involving Burkina Faso and coastal countries to prevent the further spread of extremism from the Sahel.

Benin’s government has ramped up its response, investing nearly $130 million to create new operating bases, fortify existing ones and recruit nearly 4,000 security forces since last year, Benin’s President Patrice Talon said in a speech earlier this month.

But the government’s increased security is bringing human rights abuses such as arbitrary arrests of those suspected of working with jihadis, particularly the ethnic Fulani who are suspected to be affiliated to extremists, locals and rights groups say.

“There is a risk that human rights violations will become systematic and worsen, as is the case in neighboring countries that have been fighting the same armed groups for several years,” said Samira Daoud, regional director for West Africa for Amnesty International.

Aid groups call for social investments

West Africa’s coastal states and the international community haven’t learned enough from the crisis in the Sahel about how to address the insecurity, regional experts said.

“We’re watching the same dynamic play out in Benin and I’m afraid that we are trying the same strategies that failed in the Sahel,” said Laura Sanders, founder of Cetus Global a consulting company based in Benin and focused on conflict prevention in West Africa.

“There’s an opportunity to choose a different route for littoral countries in addressing the crisis, focusing on the drivers of violence and what pushes people into these armed groups, such as unresolved grievances, social marginalization, and poor governance of natural resources,” she said.

To reduce humanitarian suffering as violence increases, it’s urgent to scale up investments now in education, nutrition and health in regions bordering central Sahel countries, say aid groups.

Meanwhile, communities in Benin say they are being forced to accept a life they never thought they’d have to endure.

“We thought for a moment, perhaps because of a certain naivety … that (we) could escape the situation of threats, of near-daily attacks that (Benin) is undergoing,” said Arnaud Houenou an expert in national security and a professor at Benin’s University of Abomey Calavi.

“Benin has been spared the terrorist war in the Sahel despite its proximity to Nigeria and Burkina Faso,” he said. “But reality has set in.”

Source: Voice of America